Réveil plus matinal, levé à 6h30, nous décollons à 8h50, le temps est bien couvert et assez rapidement quelques gouttes commencent à tomber. Un petit crachin va nous accompagner durant la matinée.



Nous passons à proximité de ROYAN et nous rejoignons la mer à ST PALAIS sur MER, changement de décors tout est fait pour le touriste...




Nous prenons la piste cyclable qui suit la côte, elle est très agréable et a un bon revêtement.
Nous sommes à proximité de l'embouchure de LA GIRONDE et visiblement la pêche est appréciée dans le secteur, les installations en place le prouvent.





Nous passons le phare de Terre- nègre, la plage de la « grande côte », la plage de LA PALMYRE, la piste est tantôt en bord de mer, tantôt parmi les pins avec parfois des petites bosses, ANNE se fait d' ailleurs piéger à un petit « tape cul », elle l' aborde avec un développement trop gros et elle n' a pas le temps de déchausser: elle se retrouve par terre, pas de mal, juste le coude un peu marqué.

Un peu plus loin, le crachin s' arrête, nous pouvons ôter nos « gortex ».
Nous faisons halte au phare de LA COUBRE, nous avons juste le temps avant la fermeture à 13h de monter les 301 marches du phare (3 euros par personne avec la visite du musée que nous n' aurons pas le loisir de faire). Du haut du phare, la vue est magnifique, regarder en bas fout la trouille.









A 13h pile nous sommes redescendus et restons admirer les oeuvres exposés en extérieur dans l' enceinte du phare (exposition d' oeuvres du sculpteur Michel AUDIARD).










A 13h30 nous trouvons une table et bancs pour pique-niquer sous les arbres.

La petite sieste d' ANNE terminée nous repartons, il est 14h50.




La piste cyclable à travers la forêt de LA COUBRE est facile; nous faisons une petite halte photo après la Pointe Espagnole face à OLERON.

Le passage du viaduc de LA SOUDRE est un peu délicat, il y a un vent de côté relativement fort et la bande réservée aux vélos n' est pas très large; c' est assez crispant, des véhicules en nombre nous doublent sans ralentir et accentuent l'effet du vent.
Nous faisons tout de même une halte « photos » au dessus des parcs à huîtres, côté nord nous voyons le viaduc d' OLERON.






Pour rejoindre BOURCEFRANC LE CHAPUS nous nous coltinons un bon vent de face; à un petit arrêt « boulangerie » nous apprenons qu' en fait nous avons dépassé le camping depuis deux kilomètres (il est plus près de MARENNES).
Nous poussons malgré tout jusqu'à la pointe du CHAPUS où le fort (du 17 ème s) n' est plus accessible à pied sec.
Au port règne une belle animation, les barges des ostréiculteurs montent directement sur des remorques tractées pour rejoindre les magasins et bassins d' expédition.



Nous retournons ensuite vers MARENNES-Plage où nous prenons place dans le camping normalement pour deux nuits.
En retirant mes sacoches du vélo, j' ai la mauvaise surprise de voir que j' ai perdu un écrou et une rondelle qui maintiennent le garde boue et le porte bagages avant! Heureusement le responsable du camping me dépanne, plus de peur que de mal et cela aurait pu être pire, j' aurais pu perdre des petites pièces spécifiques au vélo...
Le soir nous dînons dans un petit restaurant près de l' entrée du camping, une douzaine d' huîtres pour l' une, un « moules- frites » pour l' autre, le tout arrosé d' un petit blanc de CHARENTE, très bien... .