Un peu en retard ce matin, départ : 10h10 ... oups !!
Nous retournons sur l'esplanade de CASTRO- URDIALES, moins de monde que la veille mais c'est toujours aussi beau.







En quittant CASTRO-URDIALES nous entamons une première belle bosse en lacets, suivi d'une autre et ainsi de suite, nous attrapons de belles suées d'autant plus que le soleil « donne ».
Avant ZIERBENA, malgré des conseils de cyclistes espagnols, je me « fouts dedans », nous tombons sur l'entrée du port interdit au public... demi-tour ...3 km de mieux.
Un peu plus loin nous surplombons le port de BILBAO où un bateau de la Brittany ferries est à quai ; le temps d'une petite pause photo et Anne oublie son bidon... demi-tour... et 1 km de mieux.
Nous rentrons dans SANTURTZI, puis PORTUGALETE (la « banlieu » de BILBAO), c'est un peu le « souk » : une circulation intense, des sens uniques à foison, heureusement un cycliste espagnol nous prend en charge et nous montre le chemin jusqu'au pont transbordeur de Biscaye. Très sympa le gars, il fait deux bons kilomètres en nous précédant, ce n'est pas sa route car il fait demi tour une fois sa « BA » réalisée ; sans lui nous en avions pour un sacré bout de temps...






Le passage par « el Bizkaiko Zubia » est très sympa ; 1,20 euros pour nous deux, il prend beaucoup de piétons, 8 voitures et des vélos, mobylettes etc...












Ce pont est le premier transbordeur métallique au monde (il date de 1893) ; il a quatre tours de 61 m reliées par une traverse de 160m, il est classé au patrimoine mondial de l'unesco en 2006.






Sur l'autre rive après quelques emplettes, nous nous installons dans un jardin public pour déjeuner.











A la reprise, après avoir longé la baie puis traversé une grande zone urbanisée, nous retrouvons la côte pour suivre une piste cyclable qui nous mène jusqu'à la Punta Galea.





A partir de cette pointe, la piste cyclable est moins bonne, les vélos chargés n'apprécient pas le revêtement constitué de dalles, nous roulons à très petite vitesse...
A la sortie de cette piste, nous apercevons au loin SOPELANA mais nous devons faire un bon détour pour y parvenir ; nous nous perdons un peu et voilà comment nous nous retrouvons au camping avec 52 km au compteur au lieu des 42 escomptés. Vu le relief de l'étape nous en avons « plein les pattes »...


En soirée nous allons jusqu'à un resto à 5 minutes ; le temps est au beau, en attendant l'heure du dîner (21h), nous prenons une « mousse » face à la mer... impeccab'...
Le repas nous requinque, nous rentrons nous coucher bien après le soleil.