J10 - Mercredi 10 juin 2009: COURSEULLES / MER – PONT L´EVEQUE
COMPTEURS
Jour : 73 km
Total: 697 km
Nous réussissons à prendre le petit déj dehors sans problème... C'est un peu plus tard que cela se gâte...
Nous rejoignons assez rapidement OUISTREHAM, itinéraire déjà parcouru en 2006, un peu partout des décorations,
preuves des festivités récentes.
Après un petit arrêt à la flamme en souvenir du commando Keiffer, un petit arrêt devant le ferry et un
autre devant l'écluse, nous allons vers PEGASUS BRIDGE.
Arrivés à PEGASUS BRIDGE, nous prenons la rive droite de l'ORNE pour revenir vers la mer.
La pluie nous accompagne depuis OUISTREHAM;
le pompon: je crève pneu arrière, pas évident de
changer de chambre à air quand tout est trempé, dégueu (tirer les sacoches, tirer la roue, réparer, remettre
tout en place etc...). Le « super pompon »: une fois prêt à repartir, Anne s'aperçoit que ma roue arrière
est de nouveau à plat... Bordée de jurons, fumée qui sort de mes naseaux... et bon pour recommencer le même
cinéma, voilà comment une heure passe sans avancer d'un pouce.
Nous faisons la halte déjeuner à MERVILLE-FRANCEVILLE, plutôt que prévu au niveau de l'itinéraire.
Nous ne pouvons apprécier aussi bien que prévu la visite de CABOURG, DIVES / MER et HOULGATE, l'horizon est
bouché, nous apercevons tout de même le style des villas dans le secteur.
Nous suivons la côte jusqu'à BLONVILLE SUR MER où nous rentrons dans les terres pour rallier le camping de
PONT L'EVEQUE; en route nous admirons les maisons typiquement normandes à TOURGEVILLE.
Au camping de PONT L'EVEQUE nous restons un bon moment à l'abri des sanitaires avant de nous décider à monter
la tente, profitant d'une très brève accalmie. Elle est à proximité des sanitaires et c'est petit à petit
que nous amenons tout le matos à l'intérieur... la galère!!
Le soir, pour oublier cet épisode nous nous offrons une petite récompense: un repas-restau à proximité
du camping. Nous ne sommes pas déçus, un rapport qualité- prix très satisfaisant.
Le retour se fait sous le parapluie au cas où nous n'aurions pas compris que c'était la journée « pluie ».