Départ 9h, (on progresse); d'entrée en sortant du camping nous montons une belle bosse avant de redescendre à la plage de PORTIGLIOLO et là... au purée la bosse!! un mur, deux chevrons sur la carte, ils ne sont pas volés; nous montons avec Le plus petit développement, « à l' arrache »...





Quelle suée, quelques « arrêts photos » tombent à pic, pour reprendre notre souffle.

La suite est toute en toboggan, usant...



Nous faisons un bon arrêt pour discuter avec un groupe de cyclos (de VALENCE) qui sillonne la région, une quinzaine de messieurs et dames; certains veulent vérifier le poids de nos vélos (sacrée différence avec le poids de leurs « machines »)... rencontre sympa.





Nous avons du mal à trouver un endroit potable pour déjeuner et à force de chercher nous arrivons à deux kilomètres environ de PROPRIANO où enfin un banc à l'ombre, au bord d'un terrain de rugby fait l'affaire.
A la fin du repas, vu l'heure (13h30), nous prenons la décision de ne pas nous arrêter à PROPRIANO comme prévu, mais de continuer jusqu'à SARTENE.

Nous commençons par nous balader sur le port, un « paquebot croisière » y fait halte, ses passagers descendent pour une excursion, des cars attendent pour les transporter. Tout autour du paquebot les bateaux paraissent un peu petits, pourtant certains sont très « classes »...






Pour sortir de PROPRIANO nous grimpons jusqu'au col de STA-GIULIA avant quelques kilomètres de plat et avant d'entamer la montée sur SARTENE... Pas un cadeau... la vache, elle est dure...
Nous peinons pour arriver dans SARTENE, bien entamés, il était temps que cela s'arrête...





Là, grosse déception, nous allons nous renseigner au syndicat d'initiatives pour s'informer sur les campings... le plus proche est à environ 5.5 km et nous oblige à redescendre ce que nous venons de monter! Alors ça nous n'aimons pas mais alors pas du tout... J'essaie de prendre contact avec d'autres campings dans le sens de notre marche mais personne au téléphone; un peu à contre coeur, nous décidons,après un peu d'alimentaire, de redescendre un bon peu pour rejoindre le camping « Olva », ceci par une petite route plus sympa que la route nationale prise pour monter sur SARTENE.





Heureusement nous ne sommes pas déçus par le camping; après une petite frayeur en voyant l'accueil fermé et le bas du camping en chantier, nous trouvons place dans le haut du camping, sous des pins, face à une prairie où pâturent des chevaux, c'est très sympa...