Réveil 6h30, départ 9h. Nous rejoignons dans un premier temps GRISOLLES par des petites routes de campagne sympathiques, les fruitiers priment dans le secteur (pêchers).
A GRISOLLES nous faisons l' alimentaire et rejoignons le canal pour la première fois, le chemin de halage est vraiment caillouteux et nous préférons rejoindre ST RUSTICE par la N20, 2 à 3 kilomètres "avalés" rapidement sans histoire.
















A ST RUSTICE commence la piste bitumée, c'est plat et assez fréquenté (marcheurs et cyclistes).








Nous voyons des péniches décorées de façon assez coquettes (plantes vertes, petits volets, etc...). Nous avons le loisir d' observer un ragondin qui nage avec des plantes dans la gueule, sans doute pour faire son "chez soi"; nous apercevons également deux lapins et il y a beaucoup de canards.




Avant TOULOUSE, nous longeons l' autoroute, c'est bruyant, les derniers kilomètres avant TOULOUSE nous font traverser des zones industrialisées où les graffitis foisonnent.
Pour trouver l' habitation de REGIS et GAËLLE nous tâtonnons un peu, il est midi, c' est la ville et la circulation est intense.

















REGIS, GAËLLE et leurs trois filles viennent pique- niquer avec nous dans un jardin public au bord de la GARONNE, les filles sèchent l'école.



Nous repartons vers 14h30 pour traverser le centre de TOULOUSE en passant par la place du capitole.


Quand nous retrouvons la canal, je choisis le mauvais côté pour le suivre, le résultat c' est deux kilomètres en pleine circulation, heureusement un pont nous permet de revenir du bon côté.
Sur la piste cyclable les vélos sont quasiment à la "queue leu leu".
La piste cyclable est très agréable, ombragée avec un bon bitume. Nous voyons notre deuxième ragondin de la journée, également un héron.



A RAMONVILLE-ST-AGNE nous découvrons un véritable port de plaisance en pleine ville.

Nous longeons l' autoroute des deux mers et il est possible à trois reprises de rejoindre les airs de repos de l' autoroute pour se ravitailler en eau, des portes battantes ont été installées pour permettre le passage.
A AYGUESVIVES, lieu théoriquement choisi pour notre fin d' étape, nous découvrons un camping peu engageant (un peu "bidon ville") et nous préférons prendre l' option de faire vingt kilomètres de mieux plutôt que d' y rester et pourtant ANNE commence à avoir mal aux jambes.
Heureusement les kilomètres qui suivent sont agréables et faciles.




Au niveau de AVIGNONET LAURAGAIS, je vais chercher le camping du mauvais côté du canal; alors que le camping est à 250 mètres du canal, nous allons côté opposé jusqu'au village pour faire demi tour une fois compris l' erreur, résultat quatre kilomètres supplémentaires.
Le camping enfin trouvé nous convient parfaitement, peu de monde, herbeux, avec des sanitaires corrects.
Question "bouffe",nous sommes un peu juste, mais une bonne platée de pâtes avec tomates fait l' affaire et est très appréciée.
Le coucher se fait à 22h et le compte rendu dans la foulée avec la pile frontale, ANNE dort.